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La pilule du bonheur

S'il existe une chose à laquelle les femmes ont dû se résigner et qui les a marquées à jamais, c'est la pilule contraceptive. Non contentes de se trouver face à une réalité très différente de celle dans laquelle elles évoluaient, elles se sont aussi retrouvées confrontées à un monde très masculin, où hommes et femmes se chamaillent sans cesse et où le regard des autres les renvoie à des rôles auxquels elles n'étaient pas préparées.

Après avoir suivi les cours de sociologie de l'Université de Lausanne, elle a décidé de faire un stage sur les inégalités entre hommes et femmes à Lausanne, puis a suivi des études de sociologie politique. L'objectif de cette chercheuse de 37 ans est de comprendre le rôle de la pilule contraceptive dans la construction de la norme et la définition de la sexualité féminine à l'époque contemporaine. "Je ne pense pas que les femmes devraient décider de prendre la pilule. Pour nous, c'est une question de vie ou de mort", estime-t-elle. C'est à cet instant que la jeune femme a eu l'idée de rédiger une thèse sur le sujet, car elle voulait explorer le rôle de la pilule dans les représentations sociales de la sexualité féminine.

"La pilule est un outil puissant qui influence de manière décisive la construction de la sexualité féminine au sein de nos sociétés. Elle est à l'origine de nombreux tabous, qui ne sont pas seulement d'ordre sexuel, mais aussi culturel, religieux ou politique. Dans cette perspective, la pilule a été perçue comme une panacée à toutes les formes de maladies. Elle a aussi été accusée d'être un obstacle au désir et à la vie sexuelle. Elle est souvent perçue comme une sorte d'anesthésiant contre les douleurs physiques, mais c'est aussi la première et la plus simple des contraceptives orales, qui n'a jamais été accusée de rendre les femmes impuissantes."

Les recherches de Delphine Dulbecco ont permis de mieux comprendre comment la pilule a façonné les représentations sociales de la sexualité féminine depuis ses origines. "En tant qu'instrument contraceptif, la pilule a été très peu discutée en tant que telle. En effet, le premier effet de la pilule sur les femmes est celui d'un moyen de contraception. C'est un moyen très pratique qui leur permet de se protéger contre des situations potentiellement dangereuses ou problématiques, comme la grossesse. Cependant, dans les années 1960, la pilule est devenue un outil pour combattre les maladies sexuelles, une sorte de médicament contre les maladies qui pouvaient être la cause de relations sexuelles problématiques. C'est ce qui explique que l'on a pu dire que la pilule permettait de traiter des maladies comme les maladies sexuellement transmissibles, le VIH et les infections vaginales."

La chercheuse a pu étudier le rapport que les femmes entretenaient avec la pilule en tant qu'outil contraceptif. "On constate que les femmes se méfiaient de la pilule parce qu'elle était considérée comme un moyen de contraception. Pourtant, elle a été beaucoup plus répandue en raison des maladies sexuellement transmissibles qui existaient à cette époque. C'est pour cela que la pilule a été accusée de permettre de combattre ces maladies. Les femmes qui se sont retrouvées face à cette pilule sont arrivées à cette conclusion très vite."

L'expertise des femmes dans la définition du plaisir sexuel est une donnée cruciale pour expliquer le rôle de la pilule dans la construction de la norme. "Le plaisir, c'est la source même de la sexualité, c'est ce qui nous permet d'atteindre l'orgasme et d'atteindre un état de pleine satisfaction sexuelle. La pilule contraceptive a permis de réduire les risques de maladies sexuellement transmissibles, mais il faut comprendre que cette diminution était due à un contrôle de la sexualité et des désirs des femmes. Dans ces années-là, les femmes ont été victimes d'un contrôle de leur sexualité par les hommes, car ils craignaient qu'elles soient dépravées ou impures. Cette situation a été renforcée par la peur du VIH et de la séropositivité. Cette crainte a permis de renforcer la stigmatisation de la pilule et a permis de réduire le nombre de femmes qui utilisaient la pilule."

La pilule comme arme de séduction

Delphine Dulbecco a également mené des recherches sur les femmes qui ont été abusées par les hommes. "Les femmes qui sont passées par des abus ont développé un besoin d'être protégées et de retrouver leur virginité. Elles ont donc utilisé la pilule pour lutter contre leurs propres traumatismes et leur propre agression. Les abus ont également servi à légitimer cette forme de protection. Pour les femmes victimes d'abus, la pilule a été un moyen de lutter contre leurs propres traumatismes et leur agression. La pilule a été aussi considérée comme un moyen de se protéger contre la contamination par des maladies sexuellement transmissibles et les infections vaginales."

La chercheuse a aussi mené des recherches sur les femmes qui ont utilisé des méthodes de contraception non conventionnelles. "Ce sont des femmes qui ont choisi de recourir à des méthodes de contraception non conventionnelles comme la chirurgie plastique, le stérilet ou la vasectomie. Elles ont eu recours à ces méthodes pour se protéger de la sexualité des hommes ou pour éviter la grossesse non désirée. Ces femmes ont également eu recours à la pilule pour lutter contre les maladies sexuellement transmissibles. La pilule est devenue une arme de séduction qui a été utilisée comme un moyen de lutte contre les maladies sexuellement transmissibles. C'est ce qui explique que l'on a pu dire que la pilule permettait de lutter contre les maladies sexuellement transmissibles. Les femmes qui se sont retrouvées face à la pilule pour lutter contre la maladie étaient perçues comme des victimes qui luttaient pour leur intégrité physique et psychique."

Delphine Dulbecco a aussi analysé la façon dont les femmes utilisaient la pilule pour lutter contre leur propre sexualité. "Cela a été un outil utilisé comme un moyen de lutte contre les violences sexuelles, contre la violence conjugale et contre la violence sexuelle exercée par des proches ou par des tiers. Elle a été utilisée comme une arme de séduction. La pilule contraceptive a permis de lutter contre les violences sexuelles, contre la violence conjugale et contre les violences sexuelles exercées par des proches ou par des tiers. Elle a également été utilisée comme une arme de séduction."

La chercheuse a analysé la façon dont les femmes utilisaient la pilule pour lutter contre leur propre sexualité. "C'est un outil qui a été utilisé comme un moyen de lutte contre les violences sexuelles, contre la violence conjugale et contre les violences sexuelles exercées par des proches ou par des tiers. La pilule contraceptive a également été utilisée comme une arme de séduction."

Les études de Delphine Dulbecco permettent de mieux comprendre le rôle de la pilule contraceptive dans la construction de la norme. "Cette recherche montre que le contrôle de la sexualité et des désirs des femmes a été un des outils utilisés pour lutter contre les maladies sexuellement transmissibles et les infections vaginales. La pilule contraceptive a été perçue comme un moyen de combattre les maladies sexuellement transmissibles. Les femmes qui ont été victimes d'abus ont été utilisées comme des armes de séduction pour lutter contre leurs propres traumatismes et leur agression. Les femmes qui se sont retrouvées face à la pilule pour lutter contre la maladie étaient perçues comme des victimes qui luttaient pour leur intégrité physique et psychique. La pilule a été aussi utilisée comme une arme de séduction qui a été utilisée comme un moyen de lutte contre les maladies sexuellement transmissibles."

A la fin de sa thèse, Delphine Dulbecco a voulu approfondir la compréhension des femmes et de la pilule contraceptive. "Je me suis intéressée à la façon dont la pilule a été utilisée comme une arme de séduction et de lutte contre la séropositivité et les infections vaginales. J'ai également voulu comprendre la façon dont les femmes ont utilisé la pilule pour lutter contre leurs propres troubles sexuels. Dans une certaine mesure, la pilule a été considérée comme une arme de séduction, car elle a été utilisée comme un moyen de lutte contre les maladies sexuellement transmissibles et les infections vaginales. Pour les femmes victimes d'abus, la pilule a été un moyen de lutte contre leurs propres traumatismes et leur agression.